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De tout temps les hommes ont cherché à disserter (annonce du sujet), se soumettant à de nombreuses difficultés ou contraintes, qui se répercuteront sur leur réflexion (annonce du plan). (c'est l'intro... du tonnerre )

C'est pourquoi je vais disserter. (transition)
Il nous faut tout d'abord (introduction partielle) noter que disserter n'est pas facile (conclusion partielle). C'est pourquoi nous pouvons d'ores et déjà passer à la seconde partie. (ça y est, on a fait la transition )

Outre les difficultés qui ont retenu notre attention précédemment (hop, on refait le lien avec ce qui précède), les contraintes pédagogiques -auxquelles est soumise toute dissertation- ont un impact de grande ampleur sur la qualité de la prestation (développement). Une preuve (argumentation), s'il en faut toutefois, en est notre troisième élément. (on annonce la suite)

Comme nous l'avons souligné (re-hop), des contraintes s'appliquent à toute dissertation, les vidant quelquefois de tout contenu, pour privilégier la forme. Ainsi la dissertation porte-t-elle en elle-même le germe de son mal. (conclusion partielle)

Il apparaît ainsi que disserter (reprise du sujet), exercice partant d'une bonne idée (modérons notre propos), nous confronte à des difficultés inhérentes à un tel travail, et pose un cadre qui détériore fortement son résultat. C'est ainsi qu'une dissertation pourra être dénuée de toute consistance (reprise des 3 conclusions partielles). Disserter semble donc dangereux. (conclusion des conclusions)(maintenant ouverture du sujet) Cette conclusion nous amène ainsi à considérer ce qui précède d'un oeil différent. En effet, il s'avère probablement que notre travail soit l'archétype de la dissertation creuse, quoique respectant certaines normes.

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Et voilà, c'est pas plus bête que ça
Suffit juste de mettre un peu plus de consistance (et encore )

Citation:

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Le 2007-06-03 19:26, Raoul, chat tigré a écrit


Tout à l'heure, j'ai voulu mettre mon cactus à côté du grille pain allumé dans la cuisine. Le pauvre, il ne profitait pas assez du soleil dans ma chambre, avait triste mine et je craignais qu'il ne meure.
Une demi-heure plus tard, quand je l'ai repris, il saignait par endroit en de vilaines plaies.
C'était pas une bonne idée.

Et puis mon pôpa, il m'a dit après que c'était pas une bonne idée.

Hubert, c'est mon cactus ne m'abandonne pas! Tu es comme mon âme, tu piques quand on s'approche et tu te développes dans un désert de solitude. Seulement, tu es vert alors que mon âme est noire. Si tu disparais, que puis-je en conclure pour mon âme?
Qui viendra égayer mes soirées où, seul, j'avais tout le loisir de discuter avec toi.
De qui pourrais-je m'occuper alors, si la seule personne digne de mes soins disparait?
Pardonne-moi, Hubert. Et ne me quitte pas.

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Ô grand Hubert patron du grand Texas
toi qu'exaltaient les cow-boys au galop
Tu les voyais hardis, fiers et tenaces
sur leurs mustang chasser le buffalo
Un jour tu déménageas au Chesnay
Et chez Raoul heureux tu atteris
Là jour à jour pour lui tu devenais
un confident, mieux, un frère, un ami

Mais un jour une bien triste aventure
Te plaça un peu trop près d'un grille-pain
Tu y perdis tes couleurs ton allure
Tu étais réduit à presque plus rien
Raoul te pleure et tout SP qui l'aime
à son deuil prend une part affligée
Alors de Perpignan à Tombelaine
Pleurons ensemble le p'tit cactus brûlé...

Citation:

Le 2009-12-20 19:25:00, Sarigue/Elec a écrit :

quand je vais à l'ado, 1 coup sur 2 il se passe quelque chose... Vous trouvez ça normal, vous? Ca donne vachement envie d'aller adorer...)

Bah tant mieux, tellement de gens se détournent de la prière sous prétexte "qu'il ne se passe rien"