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Stephe agrémente les comptes-rendus des réunions de ses dessins. Il a notamment créé un frontispice dont les lettres formant le mot Druids représentent les surnoms des membres. La dernière lettre du mot apparaît sous la forme d'une serviette se courbant sur une petite coquille d'escargot. Allusion à des relations entre Parry et Stehe ? Trace d'homosexualité, au moins latente ? Il est certain que l'atmosphère des pensionnats anglais a favorisé cette tendance. Coupés de leur famille, les garçons cherchent affection et amitié et la trouvent le plus souvent dans les liens entre upper et fag. Plusieurs témoignages concordent dans ce sens dont celui de C.S. Lewis : "Il est possible que certains lecteurs ignorent ce que sont les "tantes" d'une maison. [...] une "tante" est un joli garçon à l'air effiminé qui sert de mignon à un ou plusieurs de ses aînés. [...]C'est moi qui coupe La pédérasterie des classes inférieures n'était pas considérée comme une inconvenance.[...]" idem Dans le cas de Baden-Powell, rien ne permets de conclure à une relation homosexuelle entre Stephe et Parry. Ou alors un simple dessin suffirait à condamner de nombreuses personnes.

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• Quel passage pourrait être intéressant.
  
• Mais surtout, mes appointements...